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Les bagnes d'Australie

Cockatoo Island (Sydney, Nouvelle-Galles du Sud)

Jean-Lucien Sanchez

Cockatoo Island Convict Site.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Cockatoo Island (l'Île du Cacatoès) se situe dans le port de Sydney, au milieu de la rivière Parramatta. Ce site est inscrit au Australian Convict Sites Heritage Property et est géré par le Sydney Harbour National Trust.

Les textes de cette expositions sont traduits de ce du Cockatoo Island (Australian Government, Sydney Harbour Federation Trust).

Cockatoo Island Convict Site.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Le pénitencier de Cockatoo Island ouvrit ses portes en 1839. La décision d'installer une colonie pénitentiaire sur l'île fut prise par le gouverneur Gipps qui souhaitait ainsi alléger les effectifs en surnombre du pénitencier de Norfolk Island. Il était destiné à accueillir des forçats récidivistes (re-offender convicts) et le choix de ce site tenait à son insularité (afin d'empêcher les évasions), mais également à sa proximité avec Sydney (afin de pouvoir le contrôler étroitement).

Cockatoo Island Convict Site.

Source : Jean-Lucien Sanchez

Dans les premiers temps d'activité du pénitencier, les forçats taillaient des pierres destinées à alimenter différentes constructions à travers la colonie. Sur place, ils construisirent également un grand nombre de bâtiments comme les barraquements du pénitencier, le corps de garde des soldats, des silos, des résidences officielles et, en 1847, le dock de Fitzroy dont le chantier dura près de dix ans.

Cellules d'isolement.

Source : Jean-Lucien Sanchez

Le pénitencier disposait de cellules d'isolement destinées à punir les forçats en cas de mauvaise conduite. Ne disposant initialement que de trois cellules rapidement insuffisantes, douze supplémentaires furent ensuite construites dans la partie sud du corps de garde.

Cellules d'isolement.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Cellules d'isolement.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Entrée du pénitencier.

Source : Jean-Lucien Sanchez

Cockatoo Island était un des pénitenciers les plus répressifs d'Australie. Il était destiné aux forçats récidivistes (c'est-à-dire ceux qui avaient commis une seconde infraction dans la colonie) ou à ceux qui s'étaient vus annuler leur ticket-of-leave et qui devaient être réintégrés. Lorsque les surintendants de Norfolk Island et de Van Diemen's Land (Tasmanie) refusèrent de les prendre en charge, ils furent envoyés à Cockatoo Island.

Pénitencier (façade extérieure).

Source : Jean-Lucien Sanchez

En 1842, le pénitencier comptait 323 forçats. Plus tard, leur nombre atteint 500. Ils étaient entassés dans des dortoirs totalement insuffisants pour tous les accueillir. 

Sortie du pénitencier.

Source : Jean-Lucien Sanchez

Le nombre de places offertes par le pénitencier était de 300. Mais le nombre de forçats atteignait régulièrement 500, ce qui entraînait des conditions d'incarcération particulièrement inadaptées.

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez

Les premiers forçats provenaient de l'île de la chèvre (Goat Island) et étaient enfermés dans des casemates en bois la nuit jusqu'à ce qu'ils aient achevé la construction de leur pénitencier sous la direction du capitaine George Barney, ingénieur royal.

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (intérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Laboratoire de radiologie.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ce bâtiment servait initialement de dortoirs et de réfectoire pour les forçats. Mais en 1948 il a été réutilisé comme laboratoire de radiographie. Il servait à vérifier les défauts internes de tous les moulages métalliques, vannes ou raccords destinés à la construction navale, principalement les sous-marins.

Laboratoire de radiologie.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dortoirs des forçats (extérieur).

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Le réfectoire des forçats était un vaste espace froid et sec, mais où les forçats pouvaient se réunir et discuter entre eux. C'était également le lieu où ils mangeaient leur ration quotidienne composée d'une livre de boeuf ou de mouton, de vingt onces de pain et d'une demi livre de légumes.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Construit en 1851, il permit de remplacer l'ancien réfectoire qui fut transformé en dortoirs pour accueillir de nouveaux forçats dont les arrivées ne cessaient de croître.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Réfectoire des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Le pénitencier ferma ses portes en 1869 et tous ses pensionnaires furent envoyés à la prison de Darlinghurst. Il fut ensuite utilisé pour l'hébergement d'une école industrielle pour jeunes filles et également en tant qu'établissement de correction (separate reformatory). En 1888, les jeunes filles quittèrent les lieux pour être installées à Parramatta et le site redevint une prison pour subvenir à l'accroissement de la population pénale de la prison de Darlinghurst : elle accueillit des vagabonds et des petits déliquants. La prison ferma définitivement ses portes en 1908.

Corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Le corps de garde militaire fut édifié par des équipes de forçats en 1841. Les pierres provenaient de l'île et la conception du bâtiment est probablement due à l'ingénieur royal George Barney. Le corps de garde hébergeait initialement les 56 soldats d'infanterie britanniques qui vivaient et exerçaient sur l'île. Depuis ce bâtiment, les surveillants pouvaient observer le pénitencier et intervenir rapidement en cas de besoin.

Corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Meurtrières du corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

A l'intérieur, les soldats pouvaient se servir de leurs mousquets et viser à travers des meurtrières numérotées.

Cheminée du corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

La cheminée à l'intérieur du corps de garde n'est pas d'origine : elle a été bâtie dans les années 1960.

Corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Les crochets aux murs permettaient aux soldats d'accrocher leurs sacs.

Corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Les fenêtres du bâtiment permettaient une ventilation croisée (cross-ventilation).

Cheminée du corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Cuisine du corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

A l'arrière du bâtiment se situait une cuisine.

Cuisine du corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Corps de garde.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Un ensemble de douze cellules d'isolement se situait sur la gauche du corps de garde. Ces cellules étaient si froides et humides que, suite à une enquête officielle, l'ordre fut donné de ne plus les utiliser en hiver. Elles furent ensuite détruites lorsque le flanc de la colline où elles étaient installées fut creusé pour agrandir le dock de Sutherland situé en contrebas.

Quartier de l'officier militaire.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Le quartier de l'officier militaire fut édifié pour héberger l'officier de la garde qui était en charge de la discipline, de l'instruction et du service de la garnison de surveillance. Initialement, le quartier disposait d'un étage et fut construit en 1845 par les bagnards au moyen de pierres provenant de l'île. Ce quartier servit également à l'hébergement des officiers supérieurs de police, puis au surintendant de l'école industrielle pour jeunes filles de Biloela et enfin au directeur de la prison.

Quartier de l'officier militaire.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ce quartier fut ensuite utilisé comme demeure durant la période d'activité de chantier naval de l'île.

Quartier de l'officier militaire.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Quartier des contremaîtres libres.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Les forçats qui travaillaient dans la scierie (aujourd'hui disparue) étaient encadrés par des contremaîtres (overseers). Ces derniers étaient chargés de la supervision des travaux et étaient le plus souvent d'anciens forçats qui avaient obtenus leur ticket-of-leave. Ils habitaient dans trois petites maisons jumelées construites par les bagnards (de 1851 à 1853) et constituées au moyen des pierres de l'île. Aujourd'hui, seulement deux de ces maisons sont encore visibles.

Quartier des contremaîtres libres.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Quartier des contremaîtres libres.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Située sur le point de plus haut de l'île, cette maison a été construite par des forçats en 1841 et hébergeait le directeur du pénitencier et sa famille. Composée initialement de deux pièces, la maison s'agrandit de deux chambres supplémentaires en 1844. Un dernier agrandissement fut opéré en 1860, pour accueillir le nouveau directeur, Gother Kerr Mann, et sa famille composée de onze enfants.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Cette maison bénéficiait d'une grande véranda qui donnait sur la baie ainsi que d'un court de tennis.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

De 1871 à 1898, le magistrat inspecteur de la police fluviale de Sydney (Visiting Magistrate of the Sydney Police Water Register) occupa les lieux. La maison fut ensuite divisée en deux pour pouvoir accueillir les surveillantes et les surveillants de la prison. A partir de 1909, elle fut occupée par deux unités du personnel de direction des docks.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Maison du directeur.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

La maison disposait également d'une grande cuisine séparée.

Maison du greffier chargé des petites sessions.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Cette maison hébergeait le greffier chargé des petites sessions (Clerk of Petty Session's Quarters).

Silos des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

A côté de cette maison se situaient les trappes des silos creusés dans la roche par les bagnards.

Silos des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Silos des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

De 1837 à 1841, la colonie pénitentiaire manquait de grains et le gouverneur Gipps ordonna la construction de silos pour pouvoir en stocker.

Silos des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Sous la direction de l'ingénieur royal George Barney, les forçats creusèrent la roche pour édifier une série de 20 silos (seuls 13 ont subsisté de nos jours). Construits de 1839 à 1842, ils mesuraient en moyenne sept mètres en largeur et six mètres en profondeur.

Silos des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Silos des forçats.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Le pénitencier vu depuis le dock de Fitzroy.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Dock de Fitzroy.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Comme le volume de transport maritime augmentait considérablement à Port Jackson, la ville de Sydney nécessitait un grand besoin de construction de chantiers navals. Le gouverneur George Gipps indiqua en 1845 au gouvernement britannique que Cockatoo Island pourrait accueillir une cale sèche. L'île disposait effectivement de trois atouts : un site stable, une main-d'oeuvre pénale et une proximité immédiate avec la baie de Sydney et des quais, des entrepôts et des magasins du port de Sydney.

Dock de Fitzroy.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

En 1845, la marine royale britannique était déjà présente à Sydney et les besoins en chantiers navals étaient importants. Gother Kerr Mann, l'ingénieur civil de Cockatoo Island, dessina les plans et fixa les estimations. Il était assisté par Sir William Denison, gouverneur de Van Diemen's Land (Tasmanie), qui était un des experts de l'amirauté britannique en matière de chantier naval.

Dock de Fitzroy.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Le chantier débuta en 1849 par l'excavation d'une grande quantité de pierres. Il fut achevé dix ans plus tard. Le dock mesurait 86 mètres en longueur et 4,5 mètres en profondeur. Il fut ensuite agrandi pour pouvoir accueillir des navires plus grands : en 1880, des travaux lui permirent d'atteindre 144 mètres de longueur. Le caisson actuel a été reconstruit en 1932 pour remplacer celui datant du XIXe siècle.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ce bâtiment fut construit en deux périodes : de 1848 à 1857 et de 1857 aux années 1860.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Il fut construit avec des pierres taillées par des forçats. Ce bâtiment s'inspire d'un autre bâtiment situé à Portsmouth en Grande-Bretagne, où la marine britannique a été convertie de la voile à la vapeur. Les deux bâtiments disposaient effectivement d'un toit en pente et d'une tour centrale avec une cloche.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

La partie sud du bâtiment contenait l'atelier d'usinage et était remplie de tours, de presses et de machines-outils. La moitié de la partie nord du bâtiment abritait la forge et était remplie de foyers et de marteaux à vapeur.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

En 1912, la tour contenant la cloche fut détruite et un second étage fut rajouté. Il contenait un atelier de finition du laiton.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Ateliers des ingénieurs et des forgerons.

Source : Jean-Lucien Sanchez.

Cockatoo Island comprend également un magnifique patrimoine industriel hérité des XIXe et XXe siècles. Durant plus d'un siècle, l'île fut le chantier naval de la marine royale australienne. Durant la Seconde Guerre mondiale, 4 000 hommes et quelques femmes y furent employés et produisirent les plus grands navires et les premiers porte-avions australiens. De nombreux vestiges remarquablement conservés témoignent encore aujourd'hui de ce passé où se mèlent près de deux siècles d'histoire de l'Australie. Vous pouvez poursuivre votre visite en vous rendants sur le site de Cockatoo Island.