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Droit

L’Autre aliéné. Histoire juridique de la folie en Afrique française

L’Autre aliéné. Histoire juridique de la folie en Afrique française

Renucci Florence,  Manetti Gaia,  Iannuzzi Lucas,  Fancello Sandra,  Falconieri Silvia,  Pestre Élise

04 March 2025

Cette exposition parcourt les étapes saillantes du traitement juridique et administratif de la « folie » dans les territoires africains colonisés par la France, entre la deuxième moitié du XIXe siècle et 1960. Elle condense les résultats des recherches réalisées, dans le cadre du programme AMIAF (Aliéné mental et indigène. Histoire d’une double discrimination de statut en Afrique française), financé par l’ANR. Interrogeant les processus de construction d’une double altérité, la recherche AMIAF a voulu réaliser une enquête historico-juridique ayant pour objet les discours et les pratiques qui président à la construction et au fonctionnement de la condition d’« aliéné indigène ».

La plupart des documents iconographiques exposés émanent de la Bibliothèque numérique AMIAF, réalisée au cours du programme, grâce au support et à la collaboration des Archives nationales d'outre-mer d’Aix-en-Provence. Librement accessible et consultable, cet outil est un complément pour approfondir les sujets traités : https://amiaf-imaf.cnrs.fr/s/amiaf/page/home.

Commissaires de l'exposition : Silvia Falconieri, Lucas Iannuzzi.

Édition en ligne : Delphine Usal, chargée d’édition, Criminocorpus Lab.

L’Autre aliéné. Histoire juridique de la folie en Afrique française

Auteurs :
Renucci FlorenceManetti GaiaIannuzzi LucasFancello SandraFalconieri SilviaPestre Élise.

Citer cette exposition :
Renucci FlorenceManetti GaiaIannuzzi LucasFancello SandraFalconieri SilviaPestre Élise. L’Autre aliéné. Histoire juridique de la folie en Afrique française, Musée Criminocorpus published on 04 March 2025, consulted on March 30, 2025. Permalink : https://criminocorpus.org/en/ref/176/66/

Crédits :

Fou et indigène. L’altérité au prisme du droit colonial en Afrique, sous la direction de S. Falconieri, Paris, Mare et Martin, printemps 2025.

Remerciements :

Archives Nationales d’Outre-mer, Aix-en-Provence ; Auguste Ogoula Mowè.