de Sanary (Julien) — Beau monde (fin)
Ils défilent les poches pleines
Le plus honnête est le forçat.
de Sanary (Julien) — La mort du bourreau. Rieusset
Le glas n’a pas sonné pour le coupeur de têtes.
Il est mort, le bourreau, comme meurent les bêtes.
Sans prêtre, sans pasteur, sans croyance, sans foi,
Sans repentir, sans pleurs, sans regrets, sans prières.
Sans qu’une main amie ait fermé ses paupières.
En y songeant encore j’en tressaille d’effroi.