Maxime Fabre est doctorant contractuel. Sa thèse porte sur le photojournalisme à l’heure des médias informatisés. Il poursuit ses recherches dans le cadre du laboratoire gripic (Celsa) en Sciences de l’information et de la communication ainsi qu’à l’Université de Liège en Sémiotique. Ses thèmes de recherche portent sur la photographie de presse, le numérique et la sémiotique. Il a publié dernièrement un article dans le numéro 194 de la revue Communication & langages intitulé « La photographie de presse au ban des dispositifs d’exposition numérique. Paris Match et l’AFP sur Instagram. »
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