4. Compléments et crédits

Plan du chapitre

Annexes. Repères chronologiques

1832 Abolition de la flétrissure, marque au fer rouge qui permet de reconnaître les condamnés.

1833 Le Registre général des condamnations, plus connu sous le nom de « sommiers judiciaires », tenu par la Préfecture de police depuis messidor an viii, présenté jusqu’alors sous forme de registres, est converti en un système de fiches individuelles.

1839 Invention de la photographie.

1853 Premiers essais de « passe-ports » portant photographies pour les détenus libérés.

1854 Invention par Eugène Disdéri du portrait-carte au format des cartes de visite.

1871 Incendie du Palais de justice et de la Préfecture de police lors de la semaine sanglante (mai) : destruction de la totalité des sommiers judiciaires (10 millions de bulletins remontant à 1790), et des fichiers du service de Sûreté. Répression de la Commune de Paris : des portraits-carte des Communards sont réalisés par Ernest Appert dans les prisons versaillaises. Une circulaire du 11 août systématise la photographie pour les condamnés à une peine supérieure à six mois de prison dans les juridictions militaires des ports.

1872 Le décret du 5 septembre 1872 décide la reconstitution des sommiers judiciaires à partir des registres des greffes d’arrondissement. On en profite pour changer de format de fiche : plus petite (9 cm x 16 cm), en carton plus rigide, elle devient plus maniable. Le ministère de la Guerre, dans une circulaire du 29 février, impose la photographie aux justiciables de l’armée de terre condamnés à plus de six mois d’emprisonnement.

1874 Création d’un service photographique à la préfecture de police.

1879 Alphonse Bertillon entre à la préfecture de police comme commis aux écritures.

1882 La préfecture de police se dote officieusement d’un « Bureau d’identité » confié à Bertillon.

1883 Première identification par Alphonse Bertillon d’un récidiviste grâce aux mesures anthropométriques : il y en aura 49 au total cette année-là, 241 l’année suivante.

1884 La loi municipale confirme le principe municipal de la police : les maires désormais élus restent les chefs des polices municipales obligatoires dans toutes les villes de plus de 5000 habitants.

1885 La loi Waldeck-Rousseau du 27 mai 1885 sur la relégation et l’interdiction de séjour systématise la déportation au bagne des récidivistes. Par une circulaire du 13 novembre, l’administration pénitentiaire généralise le signalement anthropométrique à l’ensemble des détenus. Le service de Sûreté de la préfecture de police compte près de 500 000 dossiers et 900 000 fiches.

1886 Une circulaire de la direction de la Sûreté générale (18 novembre) prescrit pour chaque commissariat l’établissement de fiches mobiles identiques pour le signalement des individus ayant comparu.

1888 Un Service d’identification anthropométrique succède au Bureau de l’identité à la préfecture de police. Il est installé dans les combles du quai des Orfèvres. Fin février, le service photographique lui est rattaché.

1889 Congrès international d’anthropologie criminelle de Paris. L’anthropométrie y triomphe et le vœu est voté de l’étendre à tous les pays. Loi du 26 juin sur la nationalité française. Présentation à l’Exposition universelle de Paris du premier procédé de photographie automatique sans opérateur, ancêtre du Photomaton.

1890 Publication par Alphonse Bertillon de La photographie judiciaire avec un appendice sur la classification et l’identification anthropométriques, Paris, Gauthier-Villars, 1890.

1892 Identification de l’anarchiste Ravachol (François Claudius Koënigstein) par Alphonse Bertillon dont la gloire atteint son sommet.

1893 Création, par décret du 11 août, du Service de l’identité judiciaire de la préfecture de police, constitué par la fusion de l’ancienne section des sommiers judiciaires avec le service de l’identification anthropométrique et la photographie judiciaire. La loi du 8 août, dite Loi de protection du travail national, renforce les mesures d’identification et d’immatriculation des étrangers.

1894 Premier ajout d’empreintes digitales à la fiche signalétique de Bertillon.

1895 Création d’un cours de signalement descriptif à la préfecture de police

1902 Première arrestation, par Alphonse Bertillon, d’un criminel grâce à l’analyse de ses empreintes digitales relevées sur les lieux du crime (affaire Reibel-Scheffer).

1903 La préfecture de police se dote d’un service dactyloscopique.

1904 Affaire dite « des fiches ». Circulaire de la direction de la Sûreté générale du 15 juillet 1904 sur les fichiers et les archives des commissariats. Un répertoire unique de fiches classées par ordre strictement alphabétique est recommandé, avec utilisation de fiches blanches d’un format de 20 cm sur 12 cm.

1906 Discours de Clemenceau, à Draguignan, sur la police judiciaire, « seule police qu’une démocratie puisse avouer ».

1907 Décret du 30 décembre : création de douze brigades régionales mobiles de police judiciaire ayant pour mission exclusive de seconder l’autorité judiciaire dans la recherche et la répression des crimes et délits de droit commun. À la direction de la Sûreté générale, création d’un Contrôle général des services des recherches judiciaires dans les départements, d’un service d’archives, d’une brigade de Renseignements Généraux et d’un service photographique.

1908 Une circulaire de la Sûreté générale du 4 avril prescrit aux brigades mobiles d’identifier et de photographier, selon la méthode anthropométrique, « les vagabonds, nomades et romanichels circulant isolément ou voyageant en troupes ». Étatisation de la police municipale de Marseille.

1911 La police spéciale des chemins de fer devient police spéciale.

1912 Loi du 16 juillet sur l’exercice des professions ambulantes et la réglementation de la circulation des nomades. Obligation du carnet anthropométrique d’identité pour les nomades, du carnet d’identité pour les forains.

1913 À la préfecture de police, le service de l’identité judiciaire est rattaché à la direction de la police judiciaire. Création de la direction des Renseignements généraux.

1914 Le premier congrès de police judiciaire internationale (Monaco) recommande la « fiche parisienne » comme modèle pour l’élaboration d’une fiche signalétique internationale.
Le fichier de l’identité judiciaire de la préfecture de police dépasse un million de fiches. Début d’un vaste travail d’épuration pour éliminer les fiches anciennes.

1915 Obligation de la photographie sur les permis de séjour des étrangers (instructions des ministres de la Guerre et l’Intérieur de mars 1915).

1917 Décret du 2 avril rendant obligatoire la carte d’identité pour les étrangers. Dans les mairies, le demandeur doit remplir trois questionnaires portant photographie dont l’un est envoyé à la Sûreté générale où un service central est créé à cette occasion.

1921 En septembre, le préfet de police instaure une « carte d’identité de Français » pour les citoyens domiciliés à Paris et dans le département de la Seine.

1922 À la Société des Nations (SDN), le haut-commissaire pour les Réfugiés, le norvégien Fridtjof Nansen, a créé le passeport dit Nansen, reconnu par de nombreux États au profit des réfugiés devenus apatrides. Concernant d’abord les réfugiés russes, le système est étendu aux Arméniens en 1924, puis, en 1928, aux Assyriens et minorités de l’ex-Empire ottoman. Le prix Nobel de 1922 est décerné à Nansen pour cette création.

1923 Création de la Commission internationale de police criminelle (CIPC), ancêtre d’Interpol, dont le siège est fixé à Vienne où se trouvaient d’abondantes archives sur « la multitude de gens douteux déferlant sur l’Europe ».

1924 Un arrêté du ministre de l’Agriculture du 22 juillet 1924 prescrit, pour les certificats d’inscription aux livres généalogiques des races françaises, un signalement de l’animal complété par sa photographie !

1925 Création, par le conseil municipal de Paris, d’un Service d’assistance aux indigènes nord-africains, situé rue Lecomte (17e arr.) qui fonctionne en étroite relation avec la Brigade nord-africaine de la préfecture de police.

1927 La Société continentale de Photomaton installe les premières cabines à Paris : Luna Park, au siège du Petit Journal, au Bon Marché et au jardin d’acclimatation.

1935 Au ministère de l’Intérieur, la Sûreté générale est réorganisée en Sûreté nationale. À l’exception de quelques polices étatisées (Lyon, Marseille, Toulon, Nice, Strasbourg, Metz), les polices en France restent municipales, y compris la préfecture de police de Paris. Création du fichier central de la Sûreté nationale.

1938 Destiné à la lutte contre faux papiers, le décret-loi du 2 mai exige des étrangers qu’ils fournissent des photographies « de profil côté droit, oreille dégagée et sans chapeau ».

1940 Publication par les autorités allemandes, le 27 septembre, de la première ordonnance concernant les Juifs, imposant leur recensement. Pour la seule région parisienne, près de 150 000 Juifs sont recensés. À la préfecture de police, André Tulard entreprend la constitution d’un fichier nominatif.
Par une loi du 27 octobre, le gouvernement de Vichy rend obligatoire la « carte d’identité de Français » pour tous les hommes et femmes âgés de plus de 16 ans.

1941 Création de la Police nationale (loi du 23 avril) par l’étatisation des polices municipales des communes de plus de 10 000 habitants et la création de police régionales d’État. Paris conserve son statut particulier (préfecture de police). 2 juin : 2e loi portant « statut des Juifs » prise par l’État français. Le gouvernement de Vichy lance son propre recensement des Juifs qui concerne essentiellement la zone non occupée. Les préfectures établissent trois fichiers, pour les juifs français, les juifs étrangers et les entreprises juives. Près de 110 000 fiches vont parvenir au « fichier central », installé à l’hôtel de Russie, à Vichy.

1944 L’ordonnance du 16 novembre rétablit la direction générale de la Sûreté nationale. Rattachée au ministère de l’Intérieur, elle comprend quatre grandes directions actives : police judiciaire, sécurité publique, renseignements généraux, surveillance du territoire. En région, une police d’État est maintenue dans les villes de plus de 10 000 habitants. La préfecture de police conserve son statut indépendant.

1945 Création de la carte de séjour pour les étrangers. Reconstitution de la CIPC dont le siège est transféré à Paris. Création d’Interpol.

1947 Création des SRPJ qui remplacent les brigades mobiles régionales créées en 1907.

1951 Par circulaire du 9 janvier, le directeur des Archives de France demande la conservation des fiches d’identité munies de photographies établies de 1939 à 1944. Création d’une mission des Archives nationales au ministère de l’Intérieur.

1952 Une circulaire ministérielle du 23 avril exige, sur les formulaires de demande de naturalisation, la photographie du demandeur, de son épouse (si elle est étrangère) et de ses enfants mineurs.
Création de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA).

1953 Création à la préfecture de police de la Brigade des agressions et violences (BAV), principalement chargée de l’identification des Nord-Africains.

1955 22 octobre, création de la carte nationale d’identité, non obligatoire et qui ne donne lieu qu’à des fichiers départementaux.

1956 La CIPC devient l’OIPC-Interpol (organisation internationale de police criminelle).

1958 À la Sûreté nationale, création d’un « fichier central des Nord-Africains », à partir de la matrice du fichier central.

1959-1960 En Algérie, les sections administratives spécialisées procèdent à un recensement de la population, avec photographie et empreintes digitales obligatoires.

1959 Ouverture en janvier, par la préfecture de police du centre d’identification de Vincennes. Première utilisation de cartes perforées.

1966 La loi du 9 juillet institue la Police nationale qui intègre la préfecture de police.

1969 Le carnet anthropométrique des nomades, créé en 1912, est supprimé par la loi du 3 janvier. Les carnets périmés remis aux préfectures sont versés aux archives départementales. Le carnet anthropométrique est remplacé en 1970 par des livrets et carnets de circulation.

Années 1970 Les cabines de Photomaton délivrent des portraits en couleur.

1978 Loi du 6 janvier relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés.

1980 Un décret du 31 juillet officialise le premier modèle de « carte nationale d’identité informatisée ».

1988 Délivrance d’une « carte nationale d’identité sécurisée » dans le département des Hauts-de-Seine.

1993 Généralisation de la « carte nationale d’identité sécurisée ». Les premières cabines de Photomaton passent au numérique.

1994 Début des opérations de restitution aux Archives nationales par la Russie des archives de la Sûreté nationale, saisies par les Allemands en 1940. L’opération sera terminée en 2000.

Crédits et remerciements

Commissariat scientifique de l’exposition

Jean-Marc Berlière, professeur émérite à l’université de Bourgogne, chercheur au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP).

Pierre Fournié, conservateur général du patrimoine, responsable du département de l’action culturelle et éducative aux Archives nationales.

Comité scientifique

Henriette Asséo, Professeure agrégée à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS)

Sandrine Bula, Conservatrice à la section des cartes et plans, Archives nationales, Paris

Thomas Fontaine, Professeur d’histoire, doctorant au Centre d’histoire sociale du xxe siècle, CNRS-Université-Paris-I-Panthéon-Sorbonne

Bruno Galland, Directeur scientifique du site parisien des Archives nationales

Jean-Marc Gentil, Chef du service de la mémoire et des affaires culturelles de la Préfecture de police de Paris

François Giustiniani, Directeur des Archives départementales des Hautes-Pyrénées

Dominique Kalifa, Professeur d’histoire contemporaine à Paris I et à l’Institut d’études politiques de Paris (IEP)

Sylvie LeClech, Directrice scientifique du site de Fontainebleau, Archives nationales

Agnès Magnien, Directrice des Archives nationales

Gérard Noiriel, Directeur d’études à l’EHESS

Christèle Noulet, Responsable du chantier de la préparation des fonds et du déménagement des Archives nationales

Pierre Piazza, Maître de conférences à l’université de Cergy-Pontoise, CESDIP/LEJEP

Marc Renneville, Directeur de la publication de Criminocorpus, Directeur de recherche au CNRS (centre Alexandre Koyré)

Damien Richard, Conservateur au Service historique de la Défense

Agnès Vatican, Directrice des Archives municipales de Bordeaux

Coordination générale, commissariat technique, régie, rédaction des panneaux et des notices

Régis Lapasin et Stéphanie Maillet-Marqué sous la direction de Pierre Fournié, Archives nationales, département de l’action culturelle et éducative

 

Guy Bernard, Edouard Bierry, Aurélie Brun, Corinne Charbonnier, Barbara Cuer, Mathilde Plaquet

Prêteurs

Aix-en-Provence, Archives nationales d’outre-mer (ANOM) ; Belfort, Archives départementales du Territoire de Belfort ; Besançon, Archives départementales du Doubs ; Blois, Société des amis du Musée et du Patrimoine de Pontlevoy/Archives départementales du Loir-et-Cher ; Bordeaux, Archives départementales de la Gironde ; Caen, Service historique de la défense ; Collection Jean Mairet ; Draguignan, Archives départementales du Var ; Fontainebleau, archives nationales ; Fontenay-sous-Bois, Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), Mission histoire et exploitation des archives ; La-Roche-sur-Yon, Archives départementales de la Vendée ; Laval, Archives départementales de la Mayenne ; Le Puy-en-Velay, Archives départementales de la Haute-Loire ; Lyon, Archives municipales ; Marseille, Archives départementales des Bouches-du-Rhône ; Nantes, ministère des Affaires étrangères et européennes, Centre des archives diplomatiques ; Montmorot, Archives départementales du Jura ; Montpellier, Archives départementales de l’Hérault ; Nantes, Archives départementales de Loire-Atlantique ; Nice, Archives départementales des Alpes-Maritimes ; Paris, Direction des services d’Archives de Paris ; Paris, Archives et musée de la préfecture de police ; Paris, Bibliothèque centrale du muséum national d’histoire naturelle ; Paris, Bibliothèque littéraire Jacques Doucet ; Paris, Bibliothèque nationale de France ; Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts ; Paris, Médiathèque de l’architecture et du patrimoine ; Paris, Musée d’Orsay ; Paris, Service des archives définitives de la RATP ; Roubaix, Archives nationales du monde du travail – dépôt de la Fédération sportive et culturelle de France (FSCF) ; Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, École nationale supérieure de Police ; Saint-Étienne, Archives départementales de la Loire ; Société Photomaton ; Tarbes, Archives départementales ; Toulouse, Archives départementales de Haute-Garonne ; Vincennes, Service historique de la défense.

Nos remerciements s’adressent tout particulièrement à

Ilsen About (Docteur en histoire de l’Institut Universitaire Européen, ATER à l’Université de Provence), Emmanuel Blanchard (Maître de conférences en sciences politiques à l’Université de Versailles Saint-Quentin, chercheur au CESDIP), Émilie Charrier (Chargée d’études documentaires aux Archives nationales), Jérôme Cras, (Conservateur du patrimoine aux Archives diplomatiques de Nantes), Vincent Denis (Maître de conférences en histoire moderne à l’université Paris-I), Jean-Claude Farcy (Chargé de recherche honoraire au CNRS, Centre Georges-Chevrier, Dijon), Emmanuel Filhol (Maître de conférences à l’université de Bordeaux 1, membre du Laboratoire Epistémè), Marie‑Christine Hubert (historienne et archiviste aux archives départementales de Seine-Maritime), Dzovinar Kevonian (Maître de conférences en histoire contemporaine à l’université Paris Ouest Nanterre La Défense-ISP), Olivier Kourchid (Directeur de recherche au CNRS, honoraire, Centre d’histoire sociale du xxe siècle, CNRS-Université-Paris-I-Panthéon-Sorbonne), Sébastien Laurent (historien Maître de conférences HDR à l’université Bordeaux-II), Luce Lebart (Société française de photographie), Sylvie Le Goëdec (Chargée d’études documentaires aux Archives nationales), Armelle Le Goff (Conservatrice du patrimoine aux Archives nationales), Sylvain Manville (Conservateur du patrimoine, Chef de la mission des Archives nationales au ministère de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration, SIAF), Guillaume Robin (Docteur en Études Germaniques, Maître de conférences à l’Université Paris Descartes, Institut universitaire Technologique, Équipe de recherche de GEPECS), Jean-Lucien Sanchez (Chargé d’études historiques au ministère de la Justice, DAP/PMJ5), Adèle Sutre (étudiante, titulaire d’un master à l’EHESS), Jean-Claude Vimont (Maître de conférences à l’Université de Rouen).

 

Ainsi qu’à toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de cette exposition :

 

Paris, Archives nationales : Nora Absalon, Éléonore Alferez, Isabelle Aristide-Hastir, Claire Béchu, Patricia Ducrot, Agnès Duteil, Nadine Gastaldi, Danis Habib, Monique Leblois-Pechon, Catherine Mérot, Samia Otmani, Mathieu Pétrignani et son équipe du service intérieur, Annie Poinsot, Virginie Roland, Joël Tauziede, Mylène Thiseau.

 

Fontainebleau, Archives nationales : Frédérique Bazzoni, Noëlle Berger, Henri Massenet, Stéphane Pareige, Serge Reby.

 

Roubaix, Centre des archives du monde du travail : Françoise Bosman, Marie Bouquet, Gersende Piernas.

 

Aix-en-Provence, Archives nationales d’outre-mer : Martine Cornède, Daniel Hick, Olivia Pelletier.

Autres institutions

Alain Alexandra (Caen, Service historique de la Défense), Thierry Alloin (AD de la Haute-Loire), Magalie Androuin (Préfecture de police de Paris, service de la mémoire et des affaires culturelles), Aline Angoustures (Office français de protection des réfugiés et apatrides), Isabelle Astruc (Préfecture de police de Paris, service de la mémoire et des affaires culturelles), Grégory Auda (Préfecture de police de Paris, service de la mémoire et des affaires culturelles), François Baudat (AD de la Vendée), Malik Ben Miloud (Préfecture de police de Paris, service de la mémoire et des affaires culturelles), Louis Bergès (AD de la Gironde), Solange Bidou (AD de la Loire), Agnès de Bretagne (Musée national d’art moderne), Emmanuelle Broux-Foucaud (Préfecture de police de Paris, service de la mémoire et des affaires culturelles), Anne Burnel (Service national des archives de la Poste), Jean-François Caraes (AD de la Loire-Atlantique), Didier Carreras (Gras Savoye assurances), Hélène Cavalié (AD des Alpes-Maritimes), Philippe Charon (AD de la Loire-Atlantique), Guy Cogeval (Musée d’Orsay), Henry-Claude Cousseau (Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts), Marie-Paule Delnatte (Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts), Anne Detot (AD de la Gironde), Caroline Deville (AD de la Loire), Dominique Douet (Préfecture de police de Paris, service de la mémoire et des affaires culturelles), Alain Droguet (AD du Territoire du Var), Myriam Drouhard (AD du Doubs), Antoine Dupin (RATP, archives historiques), Christiane Flament (Préfecture de police de Paris, service de la mémoire et des affaires culturelles), Bertrand Fonck (Service historique de la Défense), Martin de Framond (AD de la Haute-Loire), Thomas Galifot (Musée d’Orsay), Françoise Gicquel (Préfecture de police de Paris, service de la mémoire et des affaires culturelles), Emmanuel Giraud (société Photomaton), Fabrice Golec (Musée d’Orsay), Cécile Grignard (AD des Bouches-du-Rhône), Patricia Guyard (AD du Jura), Thierry Heckmann (AD de la Vendée), Annie Henwood (AD du Loiret), Damien Heurtebise (Centre des archives diplomatiques de Nantes), Juliette Jestaz (Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts), Jean-Bernard Lacroix (AD des Alpes-Maritimes), Isabelle Las (AD de la Mayenne), Xavier Laurent (AD du Territoire de Belfort), Jean-Daniel Le Pottier (AD de la Haute-Garonne), Sylvie Lécallier (Musée Galliéra), Sophie Legentil (AD de la Loire), Alice Lemaire (Bibliothèque centrale du MNHN), Michelle Lenoir Lemaire (Bibliothèque centrale du MNHN), Laurence Loy (RATP, archives historiques), Sophie Malavieille (AD de la Haute-Garonne), Marguerite De Marcillac (Éditions Plon-Perrin), Anne-Catherine Marin (AM de Lyon), Cyrielle Martin (BnF), Pascale Martinez (AD des Hautes-Pyrénées), Hélène Martini (École nationale supérieure de Police), Christine Mary (AD de la Mayenne), Agnès Masson (AD de Paris), Caroline Mathieu (Musée d’Orsay), Mathilde Meyer (Service historique de la Défense), M. Michalzek (AD des Bouches-du-Rhône), Vivienne Miguet (AD de l’Hérault), Gérald Monpas (AD de Paris), Maïlys Mouginot (Service des archives de l’AP-HP), Marie-Dominique Nobécourt Mutarelli (Bibliothèque littéraire Jacques Doucet), Guillaume Nahon (AD de Seine-Saint-Denis), Jean-Daniel Pariset (Médiathèque de l’architecture et du patrimoine), Bernadette Petit (Bibliothèque littéraire Jacques Doucet), Anna Pineau (société Photomaton), Bruno Racine (BnF), Joscelyne Randé (ministère de la Justice, Service de la Communication), Annie-France Renaudin (Centre des archives diplomatiques de Nantes, CADN), Dominique Revellino (Musée Galliéra), Matthieu Rivallin (Médiathèque de l’architecture et du patrimoine), Marie Robert (Médiathèque de l’architecture et du patrimoine), Brigitte Robin-Loiseau (BnF), Orianne Rougier (Éditions Plon-Perrin), Daniel Rzeznik (Service national des archives de la Poste), Didier Schulmann (Bibliothèque Kandinsky), Laurent Stanich (Musée d’Orsay), Remy Stephanides (AD des Bouches-du-Rhône), Joël Surcouf (AD de la Mayenne), Karen Taieb (CDJC), Jean-Christophe Tamborini (AD du Territoire de Belfort), Romain Tardy (AD de Paris), Alexandre Tardy (École nationale supérieure de Police), Laurent Theys (Éditions Plon-Perrin), Dominique Thiercelin (Institut national audiovisuel), M. Thiriau (RATP, archives historiques), Alice Thomine (Musée d’Orsay), Anne-Cécile Tizon-Germe (AD du Loir-et-Cher), Véronique de Touchet (Service historique de la Défense), Vincent Tuchais (AD de Paris), Jacqueline Ursch (AD des Bouches-du-Rhône), Jérôme Van Wijland (Académie nationale de médecine), Nathalie Vidal (AD du Doubs), Tristan Vuillet (AM de Lyon), Benoît Yvert (Éditions Plon-Perrin).

Ouvrage accompagnant l’exposition

Jean-Marc Berlière et Pierre Fournié (dir.), Fichés ? Photographie et identification 1850-1960, Paris, Perrin, 2011.

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