Armorin (François-Jean) — « Petiot avoue 63 cadavres… mais c'était, prétend-il, "pour la bonne cause" », Franc-Tireur, samedi 04 novembre 1944
Dans cet article, le Franc-Tireur révèle la défense de Marcel Petiot pendant son interrogatoire par les enquêteurs. Le docteur se présente en effet comme un résistant patriote qui a tué pendant l'occupation pour la "bonne cause".
François-Jean Armorin (1923-1950)
Grand reporter et ami de Joseph Kessel, François-Jean Armorin fut l’auteur de plusieurs ouvrages et de reportages de guerre, en particulier en Asie. C’est en revenant d’une mission qu’il disparut au large de Bahreïn dans une catastrophe aérienne. Lauréat en 1947 du prix Claude-Blanchard (grand prix du reportage), il était considéré comme un ardent continuateur d’Albert Londres. Il est entré à Franc-tireur en septembre 1944 comme correspondant de guerre F.F.I.
Sources :
http://www.tallandier.com/auteur-402.htm
http://data.bnf.fr/12181512/francois-jean_armorin/
arrestation – France – libération – police – Allemagne – justice – enquête criminelle – médecins – Paris – crimes – collaboration – faits divers – Seine (France) – instruction – France ; 1940-1945 (Occupation allemande) – rue Lauriston (Paris, France) – Landru (Henri Désiré) – victimes – collection Philippe Zoummeroff – cadavres – Petiot (Marcel) – Paul (Charles) – hôtels particuliers – rue Le Sueur (Paris, France) – témoins – complicité – Gestapo – Lafont (Henri) – Forces françaises de l'intérieur – collaborateurs – Guerre mondiale (1939-1945)