Durant la première moitié du XXe, siècle l’administration pénitentiaire procède à de nombreux réajustements et la décision est prise de fermer un grand nombre de prisons départementales. Ces prisons, dont une bonne partie fonctionnent sur le modèle cellulaire, sont jugées trop couteuses en entretien et en effectifs de surveillants. L’administration, à travers la circulaire du 23 septembre 1926, ordonne la fermeture de 218 « petites » prisons départementales. Les prisons aveyronnaises n’échappent pas à ces évolutions.