Jean-Philippe Juchs est agrégé d’histoire, docteur de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il a enseigné l’histoire médiévale aux Universités de Cergy-Pontoise, Paris 1 et Montpellier 3. Il mène des activités scientifiques au sein du Centre d’Études Médiévales de Montpellier en s’intéressant tout particulièrement à la vengeance, à la justice et à la question de l’enregistrement des affaires judiciaires. Ses dernières publications sont : « Jacques de Hemricourt et la faide. Contribution à l’analyse des représentations de l’aristocratie à la fin du Moyen Âge », Faire jeunesses, rendre justice. À Claude Gauvard. Antoine Destemberg, Émilie Rosenblieh et Yann Potin dir., Paris, 2015, p. 209-220, et « Die ‚Nahme‘ als wesentliche Beziehung in der Fehde. Das Beispiel des Königreichs Frankreich um die Wende vom 14. zum 15. Jahrhundert », Fehdehandeln und Fehdegruppen im spätmittelalterlichen und frühneuzeitlichen Europa, Mathis Prange et Christine Reinle dir., Göttingen, 2014, p. 143-161.
À lire sur Criminocorpus :
- « “Ce fut a heure illicite”. Se venger de nuit dans le royaume de France à la fin du Moyen Âge », Criminocorpus, La violence seigneuriale à l'époque médiévale, Communications, 2021.
- avec Vincent Challet, « Nouveaux regards sur la violence seigneuriale : signification et sens social des « désordres » nobiliaires », Criminocorpus, La violence seigneuriale à l'époque médiévale, Présentation, 2021.