Amandine Malivin est docteure en Histoire et civilisations, actuellement post-doctorante au sein de l’axe « genre » du LabEx EHNE : Écrire une nouvelle histoire de l’Europe. En 2012, elle a soutenu la thèse Voluptés macabres, la nécrophilie en France au XIXe siècle. Ses recherches portent sur l’histoire de la mort et du cadavre, de la déviance, du genre et des sexualités.
À lire sur Criminocorpus :
- « Le nécrophile, pervers insaisissable (France, XIXe siècle) », Criminocorpus, Sujets déviants, sujets pervers. Pathologie mentale, sexualité et expérience de l'autre, 2016.