Le voleur de la Joconde et l’anthropométrie
- Année de publication
- 1913
- Éditeur
- s.e.
- Nombre de pages
- 2
- Source
- Collection Pierre Piazza
- Numérisé par
- Bibliothèque de Science Po Paris
- Observations
En août 1911, Vincenzo Peruggia dérobe le tableau de la Joconde à Paris au musée du Louvre. À cette occasion, ce voleur laisse sur le lieu de son forfait quelques traces digitales. De plus, il a déjà fait l’objet auparavant d’un fichage anthropométrique pour deux affaires datant de 1908 et 1909. Publié dans L’Illustration du 20 décembre 1913 (n° 3695, p.512-513), cet article illustré explique pourquoi malgré ces traces et informations précieuses dont dispose le service de l’Identité judiciaire de la préfecture de police de Paris, ce dernier est incapable de procéder rapidement à l’arrestation de Peruggia. En effet, c’est l’absence d’un classement dactyloscopique adéquat au sein de ce service qui compromet alors l’efficacité des investigations menées par Alphonse Bertillon.
- Mots-clés
- vol – empreintes digitales – Bertillon (Alphonse) – service de l’Identité judiciaire – Peruggia (Vincenzo) – Joconde – fiches d'identification