Selma
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
Les cellules
Les dessins des élèves sont nombreux à prendre pour cadre la cellule.
Pierre
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
Les barreaux y apparaissent de façon systématique, quelque fois électrifiés.
Alix
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
Le lit, dessiné sous des formes diverses, est une composante importante de cet espace : lit superposé, lit de paille ou encore planche en bois suspendue.
C.T.
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
Une petite table et des toilettes complètent souvent le décor.
Mélissa
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
La présence de bêtes (araignées, souris, etc.) est fréquente, symbolisant le manque de propreté de ce lieu.
Le tout compose un univers sale et sombre, en contraste avec un extérieur ensoleillé dépeint à travers les barreaux des fenêtres.
Stan
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
L’intérieur de la prison
Les enfants ont représenté d’autres espaces de la prison comme le « réfectoire » ou la « cantine » transposant ainsi un vocabulaire familier de l’univers scolaire.
Loris
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
On distingue également des salles de sport, des parloirs, des cours de promenade ou encore des cellules sécurisées.
Juliette
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
Les enfants visualisent la prison comme un lieu constitué de différents espaces segmentés, les murs les séparant étant toujours très marqués. En revanche, aucun enfant n’a représenté de salle de cours, de lieu de soin, ni de bibliothèque par exemple.
Tristan
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
L’extérieur de la prison
Les représentations enfantines de l’architecture carcérale apparaissent également quand les élèves privilégient une vue extérieure de la prison, dessinant sa façade. Les bâtiments sont sombres et massifs, souvent gris. Ils ont soit une forme cubique soit l’apparence de châteaux forts. Les dispositifs de sécurité y sont très présents : caméras, fils barbelés, miradors, grande porte.
Maël
Source : Lise Simon, Caroline Touraut
Les barreaux sont également prédominants dans leurs représentations du bâti carcéral.
