Photographie anthropométrique d’Abel Danos, jeune, à l’occasion de l’une de ses premières condamnations en 1922.

Signalement d’Abel Danos en 1922.

Photographie de Détective (numéro du 13 décembre 1948) présentant Abel Danos dans les locaux de la Brigade criminelle, peu après son arrestation de l’automne 1948. On distingue derrière le grillage et les barreaux son visage tuméfié.

Détective évoque l’arrestation mouvementée d’Abel Danos, après la tentative de cambriolage d’une chambre de bonne (numéro du 13 décembre 1948). Il faillit être lynché par la foule. Détective précisait : « La foule s’amasse, les coups pleuvent. Danos, les yeux tuméfiés, est conduit comme un vulgaire pick-pocket au commissariat. ». L’article rappelait son engagement dans la Gestapo de la rue Lauriston et dans la sinistre brigade Nord-Africaine qui réprima plusieurs maquis et commit de nombreuses exactions (photographie d’Abel Danos en uniforme allemand).

Abel Danos le jour de son arrestation mouvementée en 1948.

Photographie de Jeunet qui apporta son aide et hébergea Abel Danos à Vence après la fusillade de Menton. Il aurait appartenu à la Gestapo française.

Photographie anthropométrique de Jeunet qui apporta son aide dans la fuite d’Abel Danos en 1948.

En mars 1949, la police reconstitua avec Abel Danos les fusillades qui eurent lieu sur la Côte d’Azur. Les photographes de Détective multiplièrent les clichés de ces reconstitutions (numéro du 14 mars 1949).

Photographies publiées dans Détective du 14 mars 1949 sur les reconstitutions des fusillades qui mirent aux prises Abel Danos et Raymond Naudy face aux forces de l’ordre.

Photographie de 1949, lorsqu’Abel Danos fut conduit dans le Sud pour les reconstitutions des fusillades de l’année précédente. Une de ses mains est menottée. Certaines photographies de cette pellicule ont été publiées dans le numéro 141 de Détective du 14 mars 1949.

Photographie de 1949 lors des reconstitutions des fusillades de l’année précédente.

Photographie des reconstitutions de 1949.