Le contenu de cette rubrique est assez flou. On peut penser qu'elle joue un rôle de résidu "divers". A partir de 1851, on y trouve sans doute les renvois devant le tribunal de police qui cessent d'être isolés. En fin de période, cette série subit manifestement le contrecoup de l'apparition de la nouvelle rubrique relevée dans la série AJONCDES. Le transfert concerne en particulier les affaires passant des mains d'un juge d'instruction d'une juridiction à celles d'un juge rattaché à une autre juridiction, "autre" s'entendant alors géographiquement parlant.

En 1923, le chiffre saisi diffère de celui fourni par le tableau du Compte général (1 725), des erreurs d'addition ont en effet dû être rectifiées a posteriori (voir aussi les séries ARESINST et ATOTINST).

De 1954 à 1965 (à l'exclusion des années 1957 et 1960), une note au bas du tableau précise la part que représentent dans cette série les affaires concernant des mineurs de 18 ans renvovées devant les chambres du Conseil ou les tribunaux pour enfants. Nous avons ainsi pu soustraire ces affaires et les reporter dans la série ARENVTE.

En 1957, le chiffre donné semble ne pas inclure les renvois devant le tribunal pour enfants.

En 1960, le chiffre donné par le Compte général (6 297) inclut les renvois devant le tribunal pour enfants dont le nombre n'est pas donné. Nous avons estimé ce dernier à 3 O77 (voir ARENVTE) et le solde à 3 220 qui est la valeur retenue pour ARENVALT.

Finalement les renvois devant le tribunal pour enfants sont exclus de cette série redressée de 1954 à 1981.