Cour d'assises du Calvados. Assassinat de l'horloger Péchard, de Caen [par Coudurier dit Pascal, Jean Minder dit Graft et Salomon Gugenheim dit Mayer], Saint-Lô, impr. Letrequilly, 1858, 4 p. Grand jugement rendu par la cour d'assises de l'Aisnes [sic], séant à Laon, qui condamne Jean-Joseph Péchon, dit Jean-Louis, berger, demeurant à Régny, arrondissement de St-Quentin, à la peine de mort et à avoir immédiatement avant son exécution, le poignet droit coupé ; convaincu d'avoir, pendant la nuit du 11 au 12 septembre dernier, assassiné son père dans sa cabane, à l'aide d'un instrument tranchant. [- Complainte à ce sujet ; complainte remarquable,-... au sujet d'un misérable débauché, natif de Saint-Prix, qui fit périr sa femme et deux enfants, et qui fut condamné à mort par arrêt de la Cour du département du Nord, du 6 août dernier. Distribué par Godefroy (François), colporteur autorisé], Lons-le-Saunier, impr. F. Gauthier, 1829, 8 p. Procès en diffamation. Plainte de M. l'abbé Pélier de Lacroix, ex-aumônier du duc de Bourbon, contre Mme de Feuchères, Mes Lavaux et Amédée Lefebvre, avocats, Paris, impr. Pihan Delaforest, 1832, 15 p. H Balme (Pierre, dr.). Un mystère "policier" en Limagne. L'affaire Pélissier-Seguin, Maringues-Riom, 1860-1865, Clermont-Ferrand, G. de Bussac, 1953, 50 p. Dumaine. Cour impériale d'Orléans. Chambre des appels de police correctionnelle. Notes sur le procès Dumaine contre Pélissot et Garnier, banquiers, faillis à Tours [26 janvier 1867], Tours, impr. Ladevèze, 1857, 22 p. Dordins. Pélot ou la vie d'un chef de brigands, Tarbes, Impr. de Perrot-Prat, 1866, 99 p. Réponse de M. Pérennès à un nouveau mémoire diffamatoire de M. le vicomte de Botherel. À messieurs les président et juges composant la 7ème chambre correctionnelle. (23 décembre 1844), Paris, Impr. de Maulde et Renou, 1844. Procès en diffamation devant la 7e chambre correctionnelle. M. Pérennès,... contre M. le vicomte de Botherel, Paris, Impr. de Maulde et Renou, 1844. Mémoire par Jules Pétiet, ingénieur du chemin de fer de Versailles, rive gauche, sur l'appel du jugement du tribunal correctionnel de Versailles du 19 décembre 1844 (25 janvier 1845), Sèvres, Impr. de M. Cerf, 1845. Condamnation à mort. Arrêt de la cour d'assises de la Seine à l'égard du nommé Jean Pétry âgé de 18 ans à Saint-Ouen [Seine-Saint-Denis], près Paris, accusé et reconnu coupable de tentative de viol, d'assassinat sur la maîtresse limonadière chez qui il était employé [la femme Courtecuisse]. Vol d'argent et de bijoux qu'il fit après le crime. Arrestation du coupable, où on lui trouva dans sa poche le couteau encore tout taché du sang de la malheureuse à qui il venait de couper le cou..., Paris, Vente, 1846. Grand jugement rendu par la cour d'assises de Paris, qui condamne à la peine de mort le nommé Jean Pétry, garçon de café, âgé de 18 ans, accusé et reconnu coupable du crime d'assassinat suivi de viol et de vol sur la personne d'une jeune limonadière de Saint-Ouen mariée depuis peu et chez laquelle il était en service depuis très peu de temps ; qu'il a eu la cruauté de frapper à coups la bouteille, lui coupant la tête avec un couteau et lui arrachant ses boucles d'oreille. Sa fuite et son arrestation. Aveux complets de l'accusé, sa défense et sa condamnation à la peine de mort, Paris, impr. Chassaignon, 1846. H Parisot (Pierre). Un crime chez les frères Quatrebras [à Toulouse en 1847], Mémoires de l'Académie de Stanislas, 1979-1980, série 7, tome 8, p. 259-268. Jugement. Cour d'assises de la Marne (Reims). Emprisonnement [sic pour empoisonnement] d'un enfant nouveau-né, accusation contre son père [Pierre-Henri Quenardel], sa mère [Claudine Charpentier, femme Quenardel] et grand'mère [Marie-Barbe Ravez, Vve Quenardel], double condamnation à mort [du père et de la grand'mère.- Complainte], Nancy, impr. Hinzelin, s. d., 4 p. Assassinat d'un maire [Giacomoni, maire de Sainte-Lucie-de-Tallano, Corse] par une jeune fille âgée de 23 ans [Marie-Françoise Quilichini]. Portrait de l'accusée, ses aveux. Acte d'accusation. Détails circonstanciés sur les malheurs qui ont amené cette catastrophe, étant poussée à bout par ses ennemis. Scènes désastreuses qui se passèrent dans son pays, où plus de quinze personnes perdirent la vie à cause de la haine qui existait entre les deux partis [d'un côté, les Poli et les Quilichini ; de l'autre, les Giacomoni et les Santa-Lucia]..., Paris, impr. Chassaignon, 1846, 1 p. Contrefaçon du Quina-Bruno. Extrait du jugement rendu le 29 juillet 1895 par le tribunal correctionnel de Lyon, confirmé le 13 novembre 1895 par la quatrième chambre de la cour d'appel de Lyon..., Lyon, Impr. de Abricy et Fauque, 1896. Rabartin (Roger). De la justicratie. Mes publications judiciaires, récit vécu d'un procès bidon, Paris, Académie européenne du livre, 1992, V-125 p. Rotillon-Digeon (Jean-Louis). Cour impériale d'Aix. Simples notes en faits pour L. Rotillon-Digeon, dit Ronard contre MM. Racle et Agob-Melik [27 février 1857], Aix, impr. Nicot, 1857, 156 p. Foucart (François). L'affaire Omar Raddad : le dossier pour servir la vérité, Paris, F.-X. de Guibert, 1998, 214 p. Deloire (Christophe), Moreau (Roger-Marc). Omar Raddad : contre enquête pour la révision d'un procès manipulé, Paris, R. Castells, 1998, 216 p. Livet (Éve). L'affaire Omar : mensonges et vérités, Paris, La Découverte, 1999, 276 p. Brouillaud (Jean-Pierre). Point de vue sur l'affaire "Omar Raddad", Recueil Dalloz, 2003, Chronique, p. 627. Bouzon-Thiam (Françoise). Omar n'a pas tué : l'assassin a signé son crime, Paris, Éd. des Limbes d'or, 1997, 337-[8] p. Cenci (Georges), capitaine. Omar l'a tuée, vérité et manipulations d'opinions, Paris, L'Harmattan, 2002, 375 p. Raddad (Omar). Pourquoi moi ?, Paris, Éd. du Seuil, 2003, 173 p.